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Avis de décès
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À la mémoire de
René Ahier
28 juillet 1924 – 21 juillet 2019 - 94 ans

Les Salons Funéraires J.F.Fortin & Fils de Chandler vous font part du décès de
M. René Ahier survenu A la résidence St-Joseph de Maria le 21 Juillet 2109 à l’âge de 94 ans et 11 mois.
Il était l'époux de feu Dame Berthe Joncas demeurant à St-Edgar.

Il laisse dans le deuil,
4 enfants: Raymond ,Gilbert ( Gladys), Louis( Linda) ,Danielle ,
3 sœurs:Rachel,Gemma,Carmen,
3 frères:Fernand,Raymond,Roland
5 petits-enfants,
plusieurs arrière-petits-enfants,
plusieurs belles-sœurs, beaux-frères, neveux et nièces ainsi que de nombreux parents et ami(e)s.

La mise en terre aura lieu au cimetière Vers l`au delà de Pabos lundi le 12 août 2019 à 11h00.

Message de Isabelle 01 avril 2020

Très triste nouvelle ... je l’aimais beaucoup .. perdu de vu depuis qq années 1-2 à cause qu’il était loin ... une sage personne un pilier de notre famille ahier.. malheureux à dire mais la famille ahier n’existe plus maintenant pour moi ... je la repart de mon coter en créant d’autres valeurs familiale plus « serrer » avec mes enfants et leurs parle de leur arrière grand papa comme image de douceur et bonté.. repose en paix mon grand papa d’amour , Isabelle ta petite fille, et tes 4 arrières petits enfants xxxxxx

Message de Claire Ritchie 19 août 2019

Sympathies très sincères à la famille pour le décès d'un homme si cher et si aimant. Repose en paix mon cher ami et sache que mon Tom lequel tu avais tant de plaisir avec lors de nos visites à St Edgar t'a précédé à l'âge de 76 ans le 25 octobre 2018.

Message de Linda LeNy 07 août 2019

En espérant que les souvenirs de cet être cher à vos yeux puissent vous apporter la paix intérieure et vous réconforter.

Mes plus sincères condoléances à toute la famille .

Linda LeNy

Message de Louis Ahier 05 août 2019

Très chers parents et amis(ies)

Nous comprenons mieux que personne la grandeur de la perte que nous avons encore à essuyer, et notre juste douleur: le mérite distingué de notre père, de votre frère, de votre ami nous était parfaitement connu.

Il nous a donné un esprit de règle et d’économie, et a su, par ses paroles enrichies et dites en son temps, nous protéger de l’air de grand seigneur, de qu’importe et d’indifférence qui conduit fort droit à toutes sortes d’injustices, et très souvent à l’hôpital. Nous avons donc vu qu’il y avait une obligation pareille à celle d’élever nos enfants dans ces principes. Pour nous, nous en sommes charmés et avons trouvé bien plus de noblesse à cette éducation qu’aux autres.

Ce n’est pas seulement un père, un ami que nous regrettons, c’est un homme aimable et solide, une société délicieuse. Mais ce qui est encore bien plus digne de notre admiration que de nos chagrins, c’est un homme fort, qui a envisagé la mort, dont il disait ne pas avoir crainte de l’inconnu, avec une fermeté et une soumission étonnantes. Il est vrai qu’il n’a pas pu jouir très longtemps du bonheur et des biens répandus depuis peu dans sa maison; il le prévoyait bien, et nous en a parlé plusieurs fois: rien n’échappait à la sagesse de ses réflexions.

Nous vous contons tous ces détails, très chers parents et amis(ies), parce qu’ils conviennent, nous croyons, à nos sentiments et à l’amitié que nous avions pour celui que nous pleurons. Il est impossible de n’être pas sensiblement touchés de voir finir si cruellement une personne qu’on a toujours aimé et fort honoré: cet être cher que la mort est venue nous arracher à notre affection. Il faut une force plus qu’humaine pour soutenir une si pénible séparation et tant de privations.

Aujourd’hui, tous ensemble, consolons-nous: aimons-nous tendrement et soyons plus étroitement unis que jamais, que ce soit là, pour nous ici rassemblés, un vrai réconfort ! Nous ajoutons que nos douleurs les plus sensibles, c’est de ne pouvoir plus rien faire pour lui, mais que nous L’en chargions, que nous demandions à notre Père céleste de faire passer tous nos sentiments dans Son cœur, afin d’augmenter et de redoubler tous ceux qu’Il a déjà.

Cet homme, si tendre et si fragile pour tout ce qu’il aimait, n’a trouvé que du courage et de la religion quand il a cru ne devoir songer qu’à lui, et, nous avons du remarquer de quelle utilité et de quelle importance il est de se remplir l’esprit de bonnes choses et de Saintes lectures, pour lesquelles notre père avait un goût, pour ne pas dire une avidité surprenante, par l’usage qu’il a su faire de ces bonnes provisions dans les derniers moments de sa vie.

Le décès de nos très chers parents et amis(ies) est la chose la plus douloureuse qui nous soit jamais arrivée; mais nous croyons fermement en la promesse de la résurrection faite par Dieu, et nous attendons avec impatience, ici-bas, sur la terre, le jour où nous prendrons, de nouveau, dans nos bras, nos très chers parents et amis(ies) !! QUELLES RETROUVAILLES CE SERONT !!!!!!!
Voir le livre des Actes, au chapitre 24 et le verset 15.

Recevez, très chers parents et amis(ies), nos plus profondes condoléances.

Les enfants: Raymond, Gilbert, Louis,
Danièle.

Message de Louis Ahier 04 août 2019

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Message de Louis Ahier 03 août 2019

Le 11 Juillet 2019
De Maria, P.Q

UN MOT DICTÉ À LOUIS POUR VOUS QUATRE. TU SALUERAS LINDA.

Chers enfants, Raymond, Gilbert, Louis, Renée (Danièle),

des l’aube levé à l’aurore, je saluais toujours avec bonheur ces grandes journées. J’avais beaucoup de travail sur la planche. Heureux d’aller gagner ma scie : j’étais bûcheron totalement ! passionnément !
En permanence au cœur,
eh oui ! du clair matin au soir avancé.

En ce moment, je repense aussitôt aux nombreux calendriers que j’ai passés chez moi à mes débuts, à St-Charles de Garnier, en Gaspésie. Il faisait froid par là-bas, je n’étais pas prêt à cela; mais la nature en ce coin de pays m’a été agréable, formidable, bénéfique !
Ce sont tous de merveilleux souvenirs, malgré quelques fois les aléas, les complexités de l’endroit.
Je demeure par dessus-tout très reconnaissant de la vie que Dieu m’a donnée, c’est vrai...! Et, quoi qu’il advienne plus loin...

Continuez ainsi... dans la mesure que vous puissiez...
C’est mon désir ! Je vous aime.

Au revoir maintenant. Dans l’espoir de vous récrire ou avec d’aussi bonne joie vous retrouver. Je crois bien que la fin ne peut tarder...

94 ans , 11 mois et 15 jours.
votre père, René Ahier

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